Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Hotchkiss M 201 Jeep, véhicule militaire de 1956
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L'Hotchkiss M201 Jeep, photo d'époque, cette automobile militaire et civile de collection fut produite de 1956 à 1966 avec un moteur d'une cylindrée de 2.1 L présentant une puissance de 60ch.
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Avant de se lancer dans la production de Jeeps, Hotchkiss est déjà importateur en France, via sa filiale, la Sofia, Société de fabrication industrielle et automobile, des Jeeps civiles Willys depuis 1946. Le constructeur de Saint Denis achète ensuite en 1952 une licence pour la fabrication et la distribution des pièces détachées des Jeeps militaires. Un an plus tard, Willys-Overland accorde à Hotchkiss la licence de construction, pour la France et l'Union française, des Jeeps civiles, puis plus tard des Jeeps militaires.
A la même époque, l’armée française est mécontente de son expérience avec le constructeur Delahaye et son Véhicule Léger de Reconnaissance VLR. Elle désire s’équiper de véhicules plus fiables. Elle choisit pour cela Hotchkiss qui vient justement de racheter en 1954 Delahaye et de se lancer dans la production de Jeeps civiles, les JH 101.
La production des premières Jeeps militaires MB démarre en 1955 sur le site de l’usine de Saint Denis (93), boulevard Ornano, avant d’être transféré plus tard à Stains, après la fusion Hotchkiss-Brandt. Suite à quelques améliorations, les Jeeps militaires Hotchkiss prennent l'appellation "M201" en 1956 et en 1959 elles sont équipées en 24 volts, contre 6 auparavant.
Au total, Hotchkiss produira 27 628 Jeeps militaires jusqu’à 1966. La production sera exclusivement destinée à l'armée française, à l'exception de 24 exemplaires pour l'administration.
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Histoire chronologique de l'ancienne marque automobile " Hotchkiss - Utilitaires et camions ", France 1954 - 1969.
En 1954, fin des petits modèles économiques Hotchkiss, il doit abandonner les voitures automobile.
En 1954, un bloc à 6 cylindres était disponible sur la version pour les sapeurs-pompiers, le premier véhicule de secours H 6 G 54 qui équipa toutes les casernes de la brigade des Sapeurs Pompiers de Paris, servira jusqu'à la fin des années 1970.
En 1956, la firme fusionne avec la Société Nouvelle Brandt pour devenir Hotchkiss-Brandt et se consacre au marché des camions et véhicules militaires.
En 1956, à l'automne apparaît le camion PL50 5 tonnes de PTC, version modernisée du PL25 de 1952 avec des projecteurs intégrés et le moteur 2,3 litres poussé à 70 CV.
En mai 1963, Hotchkiss signa un accord de commercialisation avec Leyland qui durera jusqu'à la fin 1967 pour vendre ses camions en France.
En 1964, les derniers camions Hotchkiss PL60/DH60 6 tonnes de PTC sont les premiers camions français de série équipés d'une cabine basculante.
Avec une charge utile de 3,7 à 5,7 tonnes, la gamme des nouveaux modèles à cabine avancée utilise des moteurs de 3,5 litres à essence 115 CV SAE ou diesel 91 CV SAE avec des transmissions à 4 ou 5 rapports.
En 1966, la société orienter sur le matériel militaire devien Thompson-Houston Hotchkiss-Brandt.
En 1969, la société continue de produire des camions sous le nom d'Hotchkiss et le nom survivra pour la production militaire avant de devenir Thomson-CSF en 1971.
Les véhicules militaires de la marque Thomson-CSF ont conservé l'emblème aux canons croisés uni à celui de Thomson.
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